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Rubrique Actualité11/02/2022

Microsoft lance son accélérateur européen de start-ups environnementales à Station F

Microsoft lance son accélérateur européen de start-ups environnementales à Station F

Une initiative dans un contexte où 56% des Français pensent que le numérique peut contribuer à réduire notre empreinte environnementale.
Enquête OpinionWay pour Microsoft France

Issy-les-Moulineaux, le 10 novembre 2021 – Dans le cadre de ses engagements environnementaux, Microsoft lance son accélérateur de start-ups environnementales à Station F à Paris, en France. Les candidatures sont ouvertes à partir d'aujourd'hui. Ce nouveau programme est un accélérateur destiné aux start-ups européennes qui s'efforcent de trouver des solutions pour réduire et compenser les émissions de carbone. L'initiative est lancée en partenariat avec Station F, Capgemini, Perfesco (groupe EDF), Suez, Elaia, Citizen Capital, Time for the Planet, Loamics et l'ADEME.

Microsoft dévoile à cette occasion les résultats d’un sondage OpinionWay inédit qui révèle que plus d’un Français sur deux pense que le numérique peut aider à réduire notre empreinte écologique et qui pointe le rôle attendu des entreprises dans cette transition.

Accélérateur de start-ups environnementales : l'appel à candidatures débute aujourd'hui et dure jusqu'au 10 décembre pour un programme de 6 mois débutant en janvier 2022.

 

  • L'accélérateur de start-ups environnementales est un programme d'accélération de 6 mois conçu pour accueillir 7 à 10 start-ups européennes travaillant à la réduction et à la compensation des émissions de carbone. Les start-ups sélectionnées recevront un soutien technique et financier de la part de Microsoft et de ses partenaires. Les structures sélectionnées bénéficieront de sessions de formation et d'ateliers organisés par des entrepreneurs et des développeurs pour présenter les dernières technologies conçues par Microsoft, ainsi que du mentorat de cadres issus de la recherche, de l'ingénierie et de l'entrepreneuriat.

    Capgemini offrira à chaque startup jusqu'à 20 jours de conseil pour les aider à tester et valider leur preuve de concept.

    Perfesco (EDF Group) accompagnera les start-ups lors de sessions de mentorat dédiées pour les aider à définir leur proposition de valeur et leur stratégie commerciale, tandis que Suez proposera des ateliers dédiés.

     Les fonds d'investissement Citizen Capital Partner et Elaia, ainsi que l'entreprise à mission Time For The Planet, animeront des ateliers spécifiques et donneront aux start-ups l'accès à leurs équipes pendant la phase d'accélération, tout en aidant à la sélection des start-ups elle-mêmes.

    Loamics donnera accès à sa plateforme unique de traitement et d'industrialisation des données pour faciliter l'intelligence artificielle à l'échelle pendant la période du programme d'accélération.

     Enfin, ADEME donnera accès à son offre d'entreprise, aux outils de calcul du carbone et au contenu expert de sa bibliothèque, et participera au jury de sélection.

    STATION F leur donnera accès à toutes les ressources dont ils peuvent avoir besoin pour développer leur entreprise (communauté d'investisseurs, administrations publiques, bureaux de mentorat, etc.)

 

L'initiative lance un appel à candidatures aujourd'hui (10 novembre 2021) ; les start-ups souhaitant développer une solution pour réduire et/ou compenser les émissions de carbone ont jusqu'au 10 décembre pour postuler. Les résultats seront annoncés le même mois et le programme débutera en janvier 2022.

Les start-ups intéressées peuvent postuler dès aujourd'hui via ce formulaire en ligne.

 

« Ce nouvel accélérateur de startups environnementales nous permettra de guider les jeunes entreprises européennes dans la réalisation de projets d'intérêt général pour la réduction de l'empreinte carbone des organisations. En ce sens, nous poursuivons un effort de longue date en France et en Europe pour soutenir les start-ups prometteuses à travers des programmes d'incubation ou d'accélération dédiés » a déclaré Corine de Bilbao, Présidente de Microsoft France.

« Nous sommes très heureux de participer à ce programme en mettant à disposition l'expérience de nos consultants pour accompagner les start-ups sélectionnées dans leur développement ". La réduction des émissions de carbone est un défi prioritaire auquel nous répondons par des actions concrètes » Hélène Chinal, responsable de la transformation chez Capgemini Southern & Central Europe.

« Microsoft est un partenaire depuis le lancement de STATION F, c'est donc un grand plaisir pour nous d'accueillir ce centre d'accélération dans nos locaux, surtout sur un thème aussi important que l'environnement. » Roxanne Varza, Directeur, STATION F

« L'initiative prise aujourd'hui par Microsoft fait écho à la raison même pour laquelle nous avons fondé Time for the Planet : lever des fonds pour déployer 100 innovations contre le réchauffement climatique. C'est tout naturellement que nous avons rejoint le programme. » Mehdi Coly, Co-Fondateur, Time for the planet

« Nous sommes convaincus qu'il faut soutenir la naissance de jeunes entreprises pour participer activement aux transformations nécessaires pour relever le défi climatique avec des services favorables à l'environnement. » Jérémie Almosni, Directeur de l'ADEME Ile de France

 

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de l'engagement de Microsoft en faveur de l'environnement : réduire son propre impact sur l'environnement en devenant neutre en carbone d'ici 2030 et donner aux entreprises et autres organisations les moyens de réduire leur propre impact sur l'environnement.

 

Pour 56% des Français, le numérique peut contribuer à réduire notre empreinte environnementale

  • Les Français sont eux-mêmes bien conscients de l'importance de ce sujet, comme le démontre une étude réalisée en partenariat avec l'institut Opinion Way1. Sur la base d'un échantillon de 1 051 Français, l'étude analyse leur perception de l'impact du numérique sur l'environnement, leurs préoccupations et leurs espoirs à ce sujet, et identifie les acteurs qui, selon eux, ont le plus d'influence dans ce domaine.

     Un Français sur deux se dit préoccupé par la pollution numérique, notamment les millenials.
    o 55% des Français se disent personnellement concernés par la pollution numérique, avec une préoccupation plus forte chez certaines populations :
    - Les Millenials, intimement liés au numérique : 61% des jeunes de 18 à 24 ans et 62% des 25-34 ans sont préoccupés par la pollution numérique, contre 47% des personnes plus âgées (65 ans et plus).
    - Les actifs en général sont 60% à exprimer leur inquiétude, contre 47% des retraités.

     Les entreprises, perçues comme ayant un rôle décisif dans la lutte contre la pollution numérique
    o Si les Français se sentent en partie responsables de la pollution numérique, ils estiment que ce sont les entreprises qui ont un rôle à jouer. Ils sont 68% à considérer que les entreprises ont plus de pouvoir pour réduire la pollution numérique, contre 28% qui croient davantage à l'action des individus. Malgré quelques différences, tous les répondants, quel que soit leur profil, semblent penser que ce sont les entreprises qui ont le plus de pouvoir d'action.

     Le numérique : un outil utile pour réduire globalement la pollution pour 56% des Français
    o Malgré la reconnaissance de l'existence de la pollution numérique et de ses conséquences, les Français ne rejettent pas le numérique en soi. Ils en perçoivent même les avantages. Pour 56%, le numérique permet de réduire notre empreinte environnementale. 65% des 18-24 ans sont d'accord avec cette affirmation.

" La sensibilisation des Français à la pollution numérique n'avait pas encore été mesurée avec précision. Les résultats de cette enquête sont particulièrement révélateurs " déclare Côme Perpère, Directeur Développement Durable et Transformation, Microsoft France. "Il souligne que les Français ont des attentes très fortes vis-à-vis des entreprises en matière de pollution numérique, mais aussi qu'ils voient le numérique comme une solution potentielle au changement climatique. Nous entendons cet appel et poursuivons nos efforts chez Microsoft pour réduire notre propre empreinte - ce que nous avons fait à hauteur de près de 600 000 tonnes la première année après notre engagement fort de janvier 2020 - mais aussi pour aider toutes les organisations à réduire leur empreinte environnementale à travers différents leviers : outils de mesure, solutions spécifiques pour certains secteurs d'activité, soutien à l'innovation."

1 Enquête réalisée en ligne du 20 au 22 octobre 2021 auprès d'un échantillon de 1 051 personnes, représentatif de la population active française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas, sur les critères de sexe, d'âge, de catégorie socioprofessionnelle, d'agglomération et de région de résidence.

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